Guadeloupe. MARGOTIN jeune. Lettera autografa firmata, indirizzata a A. Viot “Negociant a Nantes”.

«… Je ne puis que vous confirmer le malheur dont nous sommes menacées… que les conséquences funestes de la maladie de nos animaux retombent à notre charge. Aujourd’hui nous devions les expédier pour Colonie anglaise, mais ce matin ayant trouvé un acquéreur j’ai tout vendu…, demain matin on doit les accepter mais si plus de trois sont refusées l’affaire devient nulle… » il doit les vendre à tout prix « sans courir les risques de nous voir condamnés à les faire abattre. »  « Voulant profiter du Navire L’inca partant ce soir pour Bordeaux je ferme mes paquets. La Topaze part samedi, par elle je vous donnerai plus de détails concernant cette affaire si onéreuse pour vos intérêts. 4 heures du soir, 40 navires sur rade, la moitié prête à partir d’aujourd’hui à 20 jours. Le frèt sans aucun cours. Les achats, tout à fait nuls. Point de réponse encore du Gouverneur de la Basse-Terre. Le Maréchal Bertrand & son fils sont en ce moment à la Guadeloupe. Le Jeune Félix n’a rien terminé comme moi il attend la fin de cette crise commerciale…» 

Alla fine accenno al Generale Henri-Gatien Bertrand, 1773 – 1844, grande sostenitore dell’abolizione della schiavitù. Durante le guerre rivoluzionarie francesi e le guerre napoleoniche. Sotto l'Impero fu il terzo e ultimo Gran Maresciallo di Palazzo, capo della Casa Militare dell'imperatore Napoleone Bonaparte, che seguì sia nell'esilio all'Elba che a Sant'Elena.